On entend par vice caché tout défaut ou toute défectuosité résultant d’une conception de qualité inférieure, d’une détérioration ou d’une erreur de construction jamais vue avant la vente. Au Québec, le vendeur d’une propriété est tenu, en vertu de la loi, d’informer l’acheteur de tout vice caché qui peut avoir un impact négatif sur la qualité ou l’utilisation de la propriété et de tout prolongement de cette dernière, notamment une piscine, une cheminée, une terrasse, une remise ou un garage. Voici certains des vices cachés les plus courants :
- Des fissures dans la fondation
- Des défectuosités liées au toit ou à l’isolation
- Un problème de plomberie ou d’égout
- Un câblage, une plomberie, un chauffage ou une climatisation inadéquats
- De la moisissure dans les murs ou plafonds (peu importe où elle se trouve, en fait)
- Une infestation (animaux ou insectes nuisibles, etc.)
- Un suicide ou une mort violente ayant eu lieu dans la maison